Qui doit pondérer ce que l'on fait
Qui doit pouvoir assumer
Ce que justice ne cesse de clamer
Que face à la vie nous méritons d'être armés
Qui de nous porteras conseil
Au plus sage qui songe sans pareil
À qui a la chance de savoir exister
Dans de vrais et propres pensées
La démesure des propos malfaiteurs
La brûlure de taire ses douleurs
Face à tant d'inexactitudes
Face à la vie qui se veut rude
Nous avons tous besoin d'une épaule amie
Celle qui pense bien et qui ne nous envie
Aucune de ces chances que l'on porte en soi
Et qui ne ferait dévier bonté en désarroi
C'est bien là le malheur on se regarde
On mesure nos chances et on se nargue
À faire à qui mieux pourra sembler
Être plus heureux ou plus argenté
Complexe situation que de pouvoir savourer
Ce que nos mains ont pu dédaigner
Comme utile accords et inutiles souffrances
Pour éviter de sombrer dans la décadence
Poème Précédent | Poème Suivant |
Divers à découvrir... | Poèmes de philomène au hasard |
Annonces Google |
Poème très réaliste C’est bien là le malheur on se regarde On mesure nos chances et on se nargue A faire à qui mieux pourra sembler Etre plus heureux ou plus argenté. C'est fort et criant de vérité Merci Philo |
|
Nadine |