Une idée gronde de toute sa turpitude
Ode mémorielle à mes lassitudes
Un oiseau enchanté vient de s'envoler
Au gré de mes idées
Il reviendra peut être un soir
Couvrir le feu du désespoir
Un soir empli de chaudes caresses
Du temps des plus promptes promesses
Puis s'affadira le feu des flammes
Celles qui de leur pièges nous arment
de viles angoisses et de vaines instance
Des tournis des vagues et de l'absence
Et vogue l'âme de tous mes délires
J'offre en arme mon plus beau sourire
À celui qui grinchera de son front
Le plus mauvais de tous les sons
Je m'affaisse devant le temps qui passe
Mais de voguer jamais ne me lasse
À la vie de tous les tourments
Au mortier de tous les amants
Passe le temps et passe l'heure
Je m'alanguis et je demeure
Une chanson déjà entonnée
Pour ne rien nous faire oublier
Angoisse de mes nuits va donc te calmer
Car rien ne viendra te stopper
En dehors de cette belle dame
Qui le jour apparaît diaphane
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bien écrit "angoisse de mes nuits | |
angelique |
Un brin de mélancolie flotte sur tes nuits...Et, un beau matin, elles s'enfuiront bercés par l'amour et la tendresse de deux bras amoureux ! bisous Louann |
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louann |
Quel plaisir à lire... les angoisses de la nuit, les idées envolées, le malaise créatif... Merci, Hysard |
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hysard |
C'est vraiment, vraiment, vraiment très beau ! Vraiment ! |
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Iloa |
merci beaucoup | |
philomène |
Très bel écris,merci pour ton com; | |
Alain Yeti13 |
De la lassitude certes mais aussi une attente patiente... | |
TANGO |
Bonsoir Philomène, C'est un morceau de bravoure que tu nous donnes à lire ici, tes mots sont lourds de sens et contresens. Félicitations, Bien à toi cordialement, Philippe Andrejean. |
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Philippe AndreJean |
merci à vous | |
philomène |
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