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Mon âme enfin libérée de cette prison d'ennui
Admire le ciel s'étreindre à la bruyère aux teintes d'or
Et le soleil, amant éternel de l'azur fleuris
Éclaire le haut laurier qui, dans cette nature s'endort
Seul dans l'univers des lointains horizons
Mes songes s'évadent à l'heure du silence
Dans les champs infinis baignés des tons
De l'éclat des paysages immenses
Au loin, un torrent bleuté court
Comme tant de larmes au goût amer
Des étranges machines et des hommes sourds
Aux grandeurs invisibles de ces divines terres
Ailleurs les mystères des cieux délivrent l'harmonie
Douce et délicate des éthers fragiles
Et le monde meurtri dans sa citadelle de cris
N'ose pousser les portes de l'idylle
Adieu céleste nuit cruelle…
Écrit par paulsch
suivez ceux qui cherche la verité
fuyez ceux qui la trouve doutez de tous mais ne doutez jamais de vous meme Catégorie : Divers
Publié le 05/06/2008
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Commentaires
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Posté le 05/06/2008 à 22:19:42
Très beau poème... | |
pichounne |