S'étendaient devant moi, les reflets de l'aube
Et sur de longues plaines ou encore se brûle
Les hautes colonnes d'émeraudes
D'où mourrait l'ombre du crépuscule
Mais au plus profond de mes yeux
S'apaisèrent de sombres cieux
Tu apparus, tenant au creux de Tes mains
Les lueurs du cristal de mes nuits
Pareil à la reine de mes rêves éteints
Pareil aux derniers souffles des pluies
Mais au plus profond de mon cœur
S'effacèrent les passions, les ardeurs
Tant d'effluves alors portaient
Les parfums doux et naïf d'un lys
Et ces champs ! L'aurore de la liberté !
Ou avec toi volèrent mes songes…Jadis
Mais au plus profond de mon âme
Restera, éternelle, une sombre flamme...
Adieu céleste nuit cruel…
Écrit par paulsch
suivez ceux qui cherche la verité
fuyez ceux qui la trouve doutez de tous mais ne doutez jamais de vous meme Catégorie : Amour
Publié le 03/06/2008
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Commentaires
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Posté le 03/06/2008 à 21:37:01
Très beau poème... | |
pichounne |
Posté le 03/06/2008 à 23:46:44
j'adore! magnifique! superbe! splendide! favoris! :D | |
lo |
Posté le 04/06/2008 à 01:13:12
Superbes images et vraiment très agréable à lire :). | |
I-ko |
Posté le 31/05/2013 à 07:15:51
Excellente plume. | |
singe vert |