Tu prétends me connaître
Mais tu ne sais rien de moi
D'ailleurs, comment un tel être
Pourrait comprendre chacun de mes choix ?
Nos pas ne nous conduiront jamais aux mêmes endroits
Je suis, tel une fenêtre,
Celle à travers qui tu t'aperçois
J'eus bien aimé naître
Affligée de ton désarroi
Pour que tes agissement de traître
Ne me figent plus ainsi d'effroi
Je pourrais alors reconnaître
Si tu méritais tant d'émoi
Mais trop souvent tu te méprends et prétends être
Celui qui deviendra Roi
Écrit par paruredesang
on ne feint jamais aussi bien un sourire que lorsqu'on est sur le point de craquer.
Catégorie : Divers
Publié le 26/09/2011
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Commentaires
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Posté le 27/09/2011 à 14:38:49
bonjour paruredesang, de voilà tiraillée entre deux sentiments, situation pas facile bien décrite ... amitié poétique |
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marie-ange_old2 |