Pauvre petit ruisseau
Qui ne voyagera jamais
Plus loin que le bout de mon jardin.
Il s'écoule et s'élance espérant
Toujours inlassablement
Glisser par-dessus la pierre blanche.
L'oiseau posté sur la branche
L'épie et se moque de lui.
Lançant dans l'air et bien haut
Ses acerbes trilles.
Pauvre petit ruisseau,
Sans cesse le va et vient
Electrique l'entraîne sous le jardin
Et le relâche à son point de départ
Au commencement de tous ses espoirs.
Écrit par p'tite fée
pourquoi s'encombrer la tête avec des souvenirs que l'on transforme en désir et en rêve, quand la vie sait quoiqu'il arrive bien vous faire redescendre sur terre... les rêves ne servent à rien si ce n'est à souffrir.
Catégorie : Divers
Publié le 20/01/2012
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Commentaires
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Posté le 20/01/2012 à 16:03:53
tres beau | |
angelique |
Posté le 20/01/2012 à 17:28:12
charmant et divertissant aussi , avec une pointe de tristesse ce genre de poème constitue une évasion hors des sentiers battus , une confiserie nouvelle ,,, j'aime,,, | |
flipote |
Posté le 20/01/2012 à 17:30:28
il faut le consoler en lui disant tendrement qu'un tour réussi sur un manège c'est aussi un beau voyage,,, | |
flipote |
Posté le 22/01/2012 à 14:33:25
joli poème sur la nature, un sujet simple mais agreable qui fait qu on s évade un moment amitié poétique |
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absolème |