J'entend encore et toujours cette musique
Celle qui était posée dans ce silence
Bloqué dans mon esprit, quelle souffrance
Rêve irréel, songe fantasmagorique.
Cette procession à l'entoure de l'église
Une cigarette à la main, volutes mortelles
Marchant côte à côte, moment irréelle.
Tu te protégeais, blotties dans ta pelisse.
Que devais faire pour pour sceller cette vision?
Je me permets de rêver l'impossible
Arrêtez non! ce n'est pas risible
Dans ce moment il n'y a que le cœur qui a raison.
Aucun fait ne peux juger
Aucun regret ne peux tuer
Il ne tient qu'à moi de pouvoir prouver
Qu'il faut toujours croire au verbe aimer.
Écrit par olivierdepooter
...
Catégorie : Amour
Publié le 25/02/2019
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Amour à découvrir... | Poèmes de olivierdepooter au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 25/02/2019 à 23:19:13
Oui, effectivement, il ne tient qu'à vous, votre bon poème l'affirme : l'irréel n'est pas un refuge, mais l'action, qui n'est pas sœur du rêve, est tout ! Merci Olivier pour ce poème qui de deuil parle avec pudeur et justesse, et d'amour aussi dans la vie continuée. | |
jacou |