Est-ce le fruit du hasard.
Où est-ce que dieu était présent.
Penses-tu encore à nos regard.
Qui nous ont pris tant de temps.
Y a comme un goût de larme.
Quand je parle de toi.
Comme un appel aux armes.
J'ai toujours envie de toi.
Toi que j'admire de m'avoir laissé.
Au profit de ta droiture.
Toi pour qui j'ai tant pleuré.
Je te regarde partir dans ta voiture.
Quand tu étais avec moi.
Tu disais que j'étais ta flamme.
Est-ce que tu penses à moi.
Dans les bras de ta femme.
Je l'espère, oui c'est péché.
Mais c'est plus fort que moi.
J'ai tenté de te détester.
Mais la haine je ne sais pas.
Je pense souvent à nous.
J'ai juste repris la route.
Celle qui m'éloigne de nous.
Celle qui me tue à coup de doutes.
Peut-être que j'aurais du lutter.
Et mon amour te le prouver.
Mais tout cela est si délicat.
Non, je ne peux pas te conduire chez l'avocat.
Savoir qu'elle pleure quand je t'aime.
Non, je ne peux pas vivre dan ces termes.
Toutes les femmes qui se respectent.
On déjà connu l'interdit.
Mais si je t'aime et te respecte.
C'est que tu me l'a permis.
je suis en contact avec les regrets.
Que tu le veuilles ou non.
Depuis toi je vie en retrait.
Toute seule dans ce monde.

Nage.