Cintrée ainsi qu'une Ombre
Emplie d'effluves de vague à l'âme
En un catafalque cerclée en une catacombe
Elle sommeille ; à la lèvre une flamme.
Elle célèbre la frêle ciselure
Ă” Ă©clats de cercueil !
Qui s'Ă©tend des glaĂŻeuls Ă l'Ă©pi de chevelure
En passant légèrement par le funèbre Seuil.
Un mince rayon mordoré qui blêmit
En caressant la stèle et la gisante
Est soudainement happé par un lit
Pâle que l'herbe des Ténèbres tourmente
Et alors sous la chétive effigie
Danse le clair de lune nocturne
Friable en son charmoie de magie
Laissant resurgir la Sainte taciturne !
Écrit par mozarte62
la page est le reflet de l'âme du poète
Catégorie : Divers
Publié le 30/06/2004
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