Je les ai vu parler de toi,
Comme si l'on parlait d'un roi,
Qui a bravé beaucoup d'obstacle,
Qui de la vie est un miracle.
J'ai joué l'indifférente,
Pour ne pas faire la méchante,
Mais depuis j'ai l'impression,
Que peut être n'ai-je pas raison,
Qu'au fond tu n'es pas si mauvais,
Du moins pas comme je le pensais.
Ils disent que tu as eu des difficultés,
Que tu as atteint la maturité.
Mais alors pourquoi ?
Pourquoi as-tu agi comme ça ?
Comme un gamin égoïste,
Ignorant que j'existe.
J'aurais pansé tes blessures,
Même lacé tes chaussures,
Si seulement tu m'avais aimée,
Si tu m'avais regardée.
Mais je n'ai pas tout perdu,
Car maintenant je suis convaincue,
Que si je t'ai aimé,
C'est parce que tu n'es pas mauvais,
Et que je n'avais pas tord,
En pensant que tu étais fort.
Tu as une lueur au fond de toi,
C'est ça que j'ai aimé cette nuit là,
Tu m'éclairais dans mes heures sombres,
Depuis je t'aimais cachée dans l'ombre.
Après je t'ai haï,
De me tuer j'ai failli,
Et puis je me suis dit,
Ne fais pas ça pour lui,
Ton sang ne doit pas couler,
Pour quelqu'un qui t'a ignoré.
Et voilà qu'hier soir,
On réussi à me faire croire,
Que l'homme qui m'a fait souffrir,
Etait sincère dans ses sourires.
Mais je veux bien le croire,
Car c'était hier soir,
Qu'on a parlé de toi,
Et que j'ai repensé à toi.
J'aimerais te revoir,
Mais sans ma haine cette fois,
Juste te revoir,
Au moins encore une fois.
Écrit par morgi
Ton refus de la vie qui nous lia par dépit.
* http://nere-historioa.skyblog.com Catégorie : Amour
Publié le 30/08/2005
|
Poème Précédent | Poème Suivant |
Amour à découvrir... | Poèmes de morgi au hasard |
Annonces Google |
Oui mais il t'a tout de même fait du mal alors avant d'aller le voir reffléchit bien à tes intentions bisous! | |
junon |