Par tous les jours
De votre présence
J'ai aimé la douce plainte
Des heures
Ces longs sanglots
Des instants
Qui se détachent
Bien patiemment
Du pauvre de ma vie
J'ai marché mille fois
Le cadran de l'horloge
Vous aimant
Vous attendant
Vous chérissant
Serrant votre gilet
Dans mes mains tremblantes
En ces temps solitaires
Je songe à vous
Je sais que je n'irai plus
Dans le doux de votre amour
Ou d'autres
Je ne porte
Que votre souvenir
Et malgré
Le remontoir de l'horloge
Je sais que mon temps aimant
A couru
Personne ne saisira ma main
Dans les rues
Il n'y avait que vous
Et vous n'êtes plus
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Commentaires
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Posté le 24/03/2015 à 00:04:36
Poignant. | |
jacou |
Posté le 24/03/2015 à 15:30:35
oui c'est cela la poésie...aussi. | |
pat |
Posté le 24/03/2015 à 19:09:33
J'aime beaucoup ce style | |
Poesie nocturne |