La cage thoracique lourde d'où le cœur sourd
Mon corps se délattait d'où mon esprit balourd
Des sons inouïs sautaient comme le cri d'ola
Quand je pensais aux incidents de l'au-delà
Ce qui se fut passé comme injustice
M'intriguait dans le sens de l'ambivalence
L'innocence n'était plus un credo du sens
La fourberie marquait sa méthode d'encens
L'œuvre mondiale ne serait pas fortuite
Ne serait pas une image séduite
La boite à humains ne serait pas triste
Ne serait pas funeste et pessimiste
On faisait souvent le rôle d'écornifleurs
On prenait nos apports sans être curateurs
On suivait seulement nos âmes affamées
Sans tenir en compte les vraies âmes chômées
Foi cette foi dite d'infinité de fois
Ses paramètres embarrassaient tant de lois
Ne serait pas la pièce du puzzle perdue
Ne serait pas la clé de nos rêves vendus
Écrit par megapdg
il n'est jamais trop tard pour bien se changer
Catégorie : Erotisme
Publié le 23/09/2019
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C'est à l'âge de l'adolescence que notre innocence est intriguée par l'ambivalence dans laquelle nous pouvons trouver toutes sortes de sens, parfois nous y perdre, parfois y trouver un excédent de richesses. J'apprécie beaucoup ce poème qui me fait me reposer des questions sur des tas de choses... Merci pour ce partage. | |
jacou |
Je songe à cette "boite à humains " ... et me dit que l'ambivalence est notre naturelle seconde peau ? J'aime cette philosophie à recherche la pièce du puzzle qui nous définira véritablement... Bravo Mega ! |
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Yuba |
c'est très bien dit car bien écrit bravo j'ai bien aimé ma lecture. amitiés Michel |
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reveecrire |