nos coeurs pleurent à l'unisson
ce qu'il faut pour une chanson
ce qu'il faut payer pour un frisson
ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare
il est déja trop tard
quand je veux serrer le bonheur, on le broie
l'ombre de mes bras forment une croix
pourtant arrive le printemps du repos
car habite du jeune sang sous sa peau
pourtant la peur dans yeux
la simple consience d'un malheureux
le battement de son coeur elle écoute
il lui dicte sa route
sa vie ressemble à ses soldats sans armes
qui ont beau retenir leur larmes
on les avait habillés pour un autre destin
pour une route sans chemins
un jour il passeront la frontière
qu'importe demain qu'importe hier
vers une route inconnue
visage caché par les larmes, pieds nus
se battre pour rester en vie
eux, que l'on retrouve le soir désoeuvrés
peu à peu la honte s'accroit
d'avoir tué
tissu d'amour à minuit se découd
jeunesse finit par se mettre la corde au cou
Écrit par marie05
l'amour c'est comme le vent sa vient et sa part ...on ne peux jamais l'attraper
Catégorie : Triste
Publié le 07/03/2006
|
Poème Précédent | Poème Suivant |
Triste à découvrir... | Poèmes de marie05 au hasard |
Annonces Google |