« Nous avons des rêves à ouvrir des portes tristes »
Les armes d'une amitié pour soulager une solitude
Plus loin
Ce rien mécontent
Ce parc de rouge à lèvres
Comme des plaques tectoniques
Avant de jouer notre union aux dés
Plus tard dans l'été
Trafic hormonal des sourires
Aucun chemin vers un plus tard
Juste un geyser à happer
Aucun chemin vers un plus tard
Aimer les murs
La violence du chemin déshabillé
Que l'on fait ornière d'une rage de dents
Je reviendrai vers des matins calmes
Assoiffé
« Mon bel amoureux »
Issus d'une ivresse de mensonges
Que j'ai répété à m'en brûler la cervelle
Solitude d'une mécanique des baisers
Solitude religieuse d'une clope
Après ton corps
Dans l'utérus de la nuit
J'ai aimé bêtement mes remparts
Mes garnisons de mots
Autant de mots
Autant de visages
D'où naissent les avants postes de l'ennuie
Tyrannie des rêves à quatre heures du matin
Assis au milieu des vivants
Seuls les morts ressuscitent
Une mise en scène de l'ego
La face que l'on joue
Pour finir par trancher sa gorge
« Je te désire, je t'aime »
Mais un autre jour
C'est de moi que j'aurai soif
Soleil reptilien
Écrit par marc
"nous avons l'art pour ne point mourrir de la vérité"
nietzsche elitis2001@yahoo.fr Catégorie : Amitié
Publié le 05/07/2008
|
Poème Précédent | Poème Suivant |
Amitié à découvrir... | Poèmes de marc au hasard |
Annonces Google |