Assise au milieu de toutes ces feuilles
Elle attendait qu'on vienne la chercher
Imaginant une légère ombre sur le seuil
La nuit venait tout juste de tomber
Elle reporta à demain son idée
Puisque personne ne souhaite la recueillir
Sauf ces quelques feuilles qui restent à la surveiller
Mais le vent va bientôt les faire partir
Il ne lui restera plus que son désespoir
Qui ne la lâchera pas du matin au soir
Et qui l'aidera à s'accepter tel qu'elle est
Écrit par manalou
Nos yeux se regardaient l'un l'autre qu'une fraction de seconde mais pourtant nos regards parlaient d'eux mêmes. On s'aimait autant l'un que l'autre.
Catégorie : Pensée
Publié le 23/01/2020
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Commentaires
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Posté le 23/01/2020 à 11:22:10
Moi je suis là pour recueillir cette idée ! les yeux captent l'émotion avant le vent Je crois... Bravo Manalou ! |
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Yuba |
Posté le 24/01/2020 à 05:11:01
Il est dommage que les meilleurs poèmes reçoivent si peu de commentaires... Sic. Recevez ici ma dilection devant vos bons vers, sans rien qui pose selon le principe verlainien. | |
jacou |
Posté le 24/01/2020 à 15:41:47
très beau | |
marinette |
Posté le 24/01/2020 à 17:29:21
Des mots pleins d'émotion, si bien exprimée! | |
Matriochka |
Posté le 26/01/2020 à 21:51:30
Ce poème est beau . Je souhaite que le petit tournesol ne reste pas seul. | |
roserose |