Comme des poussières de cheveux
Qui flottent dans l'air, je veux
Encore, je cherche entre les corps
Les particules, les liens, cet or
Que si dignement tu portais, sur le cou
nu, à la vue de tous, mes baisers invisibles
En étaient décorés, une empreinte, un "nous"
Ce fil, la trace de mon chemin vers tes cimes.
Mes souvenirs de fragrances, des compagnes
D'excellence, une éphémère réalité plane
Au dessus de mon coeur, le berçant d'idéal
à travers les vapeurs de cette vie banale.
Lo.
Écrit par lo
\" Le poète est un grand mytho qui s\'invente des thèmes pour sourire, pour énerver, pour qu\'on lui dise je t\'aime \" Grand Corps Malade
Catégorie : Amour
Publié le 10/03/2011
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Commentaires
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Posté le 10/03/2011 à 08:18:26
un très joli poème tout en douceur ciselé de baisers d'or..bonjour petite lo | |
ulysse |
Posté le 10/03/2011 à 08:50:53
s'échappe un petit air triste...laissons voler voler merveilleux! |
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MARIE L. |
Posté le 11/03/2011 à 23:31:37
poème triste mais magnifique très beau les "baisers invisibles" ! | |
angelique |