Si je dois m'en rappeller, je m'en rappellerai.
Si pour ça je dois écouter des titres au son de regrets.
Et si mon coeur écorché, reste ouvert
C'est pour t'accueillir dans mes moments éphémères.
De rien je ferai un tout, puisqu'à présent
C'est en moi et à jamais que tu vis maman.
Il y a des mots qui ne vont avec cette réalité
Qui tâcheront pour toujours ta beauté.
Il y a des mots que jamais je n'pourrai prononcer
Seul mon stylo pourra le faire telle une handicapée.
Il y a une image que je n'pourrai éffacer
Celle de ton visage, un portrait à jamais gravé.
Il y a cette réalité que je n'pourrai accepter
Sauf celle ou je saurai que je serai au plus près de tes pensées.
*
Lo.
*
écrit sur
Montée là - haut
Saez
*
Écrit par lo
\" Le poète est un grand mytho qui s\'invente des thèmes pour sourire, pour énerver, pour qu\'on lui dise je t\'aime \" Grand Corps Malade
Catégorie : Amour
Publié le 02/05/2009
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Commentaires
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Posté le 02/05/2009 à 21:44:56
quelle force dans ce magnifique poéme toute en douceur quel hommage amitiés^^ | |
1958 |
Posté le 02/05/2009 à 22:56:41
Les mots me manquent, ton texte est superbe. Bises Ange de lumière |
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Ange de Lumière |
Posté le 03/05/2009 à 15:35:43
Superbe poème... | |
Michka |