Pour certain la fête devient une arrête,
La vengeance d'une autre conquête,
Le foot brasse des pépites d'or,
Mais il y a là les casseurs qui en veulent encore.
Pour ces marginaux fleurit un business,
Celui d'aller chercher l'or au frais de la princesse,
L'innocent ballon de foot à bon dos,
Mais le PSG se retrouve là dans les caniveaux.
Pourtant pourquoi ne pas fêter une victoire dignement,
L'alcool, la drogue sont aussi des affluents,
La France peut-elle se suffire d'un tel saccage,
Je ne suis pas concernée mais cela me met en rage.
Tant qu'il y aura des cinglés,
Ou des profiteurs bien intentionnés,
Sur la terreur d'une folie meurtrière,
Les commerçants sont anéantis comme le pot de la laitière.
Les agressions de personnes innocentes,
Victimes de hooligans dans la tourmente,
Ne sont pas un concentré de citron,
Et encore moins la guerre des chiffons.
Écrit par lisezmoi
De même qu'il faut de la souffrance pour connaître le bonheur, il faut de la prose pour qu'il y ait poésie.Edgar Morin
Catégorie : Divers
Publié le 14/05/2013
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certes Paris, vaut bien une messe mais ces incidents de timbrés valent-ils un poème ? | |
amnous |
Moi je dis : oui ! c'était bien tourné ! et viv' le "Foot purifié" | |
flipote |