Quand serais je sur ma terre ?
Quand pourrais-je me réveiller
le matin et fouler mon jardin.
Impatience, impuissance,
je me dois d'attendre,
attendre, attendre, attendre.
En attendant à tout prendre
ne pas perdre mon temps,
à mes potées je m'accroche.
Mes arbres, mes bébés,
je les soigne, les prépare,
dans ma terre les emmener.
la nature m'apprend la patience
moins patiente avec les hommes
ils n'ont parfois rien d'humain
allez allez, tu vas y arriver
dans ta terre et le matin foulé
la rosée de ton jardin émerveillée.
***********
 |
Écrit par lesviolettes
il ne faut pas appréhender le vide comme un puit menaçant mais comme un lac appaisant
Catégorie : Divers
Publié le 08/08/2010
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
| Poème Précédent |
Partager ce poème:
|
Poème Suivant |
| Divers à découvrir... | Poèmes de lesviolettes au hasard |
Commentaires
| Annonces Google |
Posté le 08/08/2010 à 08:07:36
 |
Ma fidéle amie te voila à la poésie et je suis ravie. Dans ton jardin séme de la patience, cette plante proche de l'oseille qui nous fait défaut quelques fois....gros bisous Violette. |
Pimprenelle  |
Posté le 08/08/2010 à 10:50:11
 |
Je te souhaite que le temps passe très vite pour retrouver ta terre et y semer un très beau jardin. |
sphinxangel  |