Avec toi, j'ose tout, je suis moi !
Le voile se déchire
J'en oublie mon linceul
Eternité se lit dans ce sourire
Tant de fois aimé, et jamais sans le désir d'être aïeule !
La beauté de nommer l'insaisissable,
Rend la pureté de ton amour encore plus désirable !
Nous nous avons mais nous chercherons toujours !
Chercher pour l'autre et non plus que pour soit !
Voilà selon mes désirs, en quoi
Il est nécessaire pour qualifier l'amour :
Ne plus dire je suis amoureux mais bel et bien je t'aime
Pour que l'on s'oublie, pour l'aurore de notre tandem !
Ainsi, se blottissant dans mes fébriles bras !
J'aurais de nouveau, entre mes gros doigts
La perle fragile, le fruit des bois !
Et les étoiles dorment dans tes deux astres !
* * *
L'or du ciel saupoudre notre étreinte,
Le réveil est doux, mais la volonté profondément éteinte.
Ta jambe contre la mienne, ton pouls ondulant dans ma main,
Je sens ta vie battre dans le creux de mon cœur
Tandis que la mienne semble balancer au mouvement de tes seins !
Un baiser sur le front, je me déplace,
Encore un, toujours un, et tu m'enlaces !
La faible lueur qui s'échappe des rideaux,
Éclaire ton visage plein de sérénité,
En embrassant amoureusement ta peau...
Je retrouve la fraîcheur des cimes,
Et se mariant à tes caresses divines,
L'ocre rayon de notre Jérusalem
Se confond dans tes yeux, dans l'azur sans terme...
Là haut, dans tes bras !
J'oublie tous les maux d'ici bas,
Et d'une valse rythmée par un concert sage
Les nuages blancs m'emportent dans leurs sillages...
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