Les victimes
Blessés, meurtris au champ d'horreur
Des enfants lentement se meurent.
Victimes dans leur innocence
Des hommes, saturés d'engeances,
Qui ne visent que le pouvoir
Menant des vies de désespoir.
Pour emblème, une religion
Ne rêvent que de destructions.
Ne craignant pas l'éternité,
Ils vous privent de liberté.
Tous ces enfants qui veulent vivre
Et non demain toujours survivre ?
Sans toutes ces guerres immondes
Comme il serait beau notre monde !
Annie
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Commentaires
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Posté le 10/03/2017 à 08:12:56
La guerre est dans l'ADN de l'homme ! | |
CRO-MAGNON |
Posté le 10/03/2017 à 08:30:27
Les petites victimes sont encore plus blessantes que les civils adultes... Folie de la guerre, qui sans cesse renaît dans l'esprit acariâtre d'hommes qu'on dirait nés pour se battre. Merci Daniel de commémorer, après le jour des femmes, la nuit de ces enfants-là ! |
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jacou |
Posté le 10/03/2017 à 09:52:02
Bonjour, comme vous l'avez sûrement remarqué ce poème est signé Annie. C'est ma femme qui l'a écrit, il y a déjà quelque temps. Il lui a semblé qu'aujourd'hui, il était toujours d'actualité. Merci pour vos appréciations, je transmets. |
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lefebvre |
Posté le 10/03/2017 à 18:14:49
Combien d'enfants sautant sur les mines même et surtout des années après la fin du conflit ? Combien explosant après avoir pris pour un jouet le résidu d'une bombe à fragmentions ? |
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Heliantheme |
Posté le 11/03/2017 à 01:15:09
Daniel, vous direz à votre épouse que j'ai apprécié la fin de son poème, une lueur d'espoir... | |
suane |