Parfois je lève les yeux et la ville a changé.
Trempée dans le bleu la cime des arbres caressée,
Tel un balai heureux d'un souffle enivré,
L'horizon torturé par le toit des maisons,
Perspective habillée où résonnent tous les sons.
Les immeubles neufs toisent Les vieilles baraques impassibles,
Et en vain ils pavoisent mais le temps est terrible,
Ils seront à leur tour dépassés et marqués par les rides,
Ils ne peuvent lutter contre les hordes de pluie acide.
Écrit par le petit chose
il vaut mieux vivre sa légende personelle pluôt que de la chercher
Catégorie : Divers
Publié le 10/01/2011
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Commentaires
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Posté le 10/01/2011 à 18:50:01
Comme nous, les nouveaux deviennent anciens ainsi de suite, rien ne résiste au temps...A part les êtres qui se croient immortelles ou indispensables ;) Un écrit plein de finesse ! amicalement Louann |
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louann |
Posté le 10/01/2011 à 21:24:24
Moi je suis immortel et indispensable d'abord xD Le poême est joli dans la de scription qu'il nous apporte en tout cas ^^ |
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Lorenzo |