La douce candeur de ton mépris,
Rappelle l'insouciance des enfants,
Où émane de ces jeunes esprits,
La pureté d' êtres méchants.
Le voile de la colère,
Etouffe sa proie ,
Anéantis tous parfum d'hier,
Et devient notre moi.
Non ce ne sont pas mes mains,
Qui viennent épouser ton cou nue,
Les mêmes qui au creux de tes reins,
Oscillaient entre accord et refus.
Non ce ne sont pas mes doigts,
Qui se referment avec envie,
Mais mon cœur n'a plus de foi,
Je dois tuer ton mépris.
Écrit par le petit chose
il vaut mieux vivre sa légende personelle pluôt que de la chercher
Catégorie : Amour
Publié le 04/08/2009
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Commentaires
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Posté le 04/08/2009 à 23:19:46
Beau texte ! | |
Caliopsa |
Posté le 05/08/2009 à 15:39:48
Bien joli texte. Amicalement Ange de lumière |
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Ange de Lumière |
Posté le 18/10/2009 à 08:27:55
beau poème!! pardon pour ma mauvaise humeur de cettenuit je t' embrasse bon dimanche! | |
flipote |