Avec les yeux ouverts je tomberais par terre quand je repenserais au passé.
Les souvenirs, eux, ils tuent.
Avec les yeux entrouverts j'essaierais de regarder vers un autre demain,
Vers un futur qui sans toi ne peut exister.
Avec les yeux fermés je refuserais la vie et le miracle de l'attraper, dans un instant.
Avec les poings serrés je vais combattre contre cette maladie,
Je brulerais chaque instant de ces jours passés à l'hôpital à regarder les horloges et le plafond, attendent trop de réponses de la part des médecins.
Je brulerais mes nuits, je serais convaincue que le monde est rien sans toi,
Trop petit pour contenir toutes mes peines.
Le jour où tu es mort,
Ma vie est tombée dans le gouffre de la douleur.
Le son des cloches ont laissé la dernière balafre dans mon cœur.
Maintenant ma vie est trop sombre,
Je souffre son absence, il me manque.
Et de moi rien ne reste.
Moi qui connais bien les hôpitaux, les cimetières et le mal de vivre.
Je resterais renfermée dans un temps qui n'a pas fin,
À courir à l'intérieur de vieux châteaux.
Je t'aimerai encore à genoux,
Toujours dans ce temps qui n'a pas fin.
Écrit par karine-leslie
Tu n'es plus là...
Catégorie : Triste
Publié le 27/11/2008
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