Le fil de vent
Si doucement
Qui m'effleure
A ce parfum
D'oranger fin
D'une fleur
Quand nous dansions
Pleins d'attentions
Certains soirs
J'avais sur moi
L'odeur de toi
Dans le noir
Aux coeurs esclaves
Ces feux de lave
D'un seul jour
Ont allumé
L'envie d'aimer
Pour toujours
Je ne puis plus
Sentir ténue
Cette effluve
Ou bien en vain
Aidé du vin
Que je cuve
Écrit par jacou
L'art alchimique me tue, me transmute, me sublime. J'en renais plus fort, poétiquement. À suivre.
Catégorie : Chanson
Publié le 29/05/2015
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Commentaires
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Posté le 29/05/2015 à 11:14:28
c'est si beau...la poésie... | |
pat |
Posté le 29/05/2015 à 11:17:09
Ah ce parfum à la fragrance inoubliable ! Amitiés |
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Yuba |
Posté le 29/05/2015 à 16:24:37
Parfum subtile et plein de sensualité! | |
celtique |
Posté le 29/05/2015 à 20:28:43
Merci à tous trois pour vos commentaires ! Amitiés. | |
jacou |
Posté le 15/08/2019 à 23:32:17
Je me souviens de ce parfum ! Et bravo Georges pour la forme des strophes on dirait vraiment 4gouttes d'un élégant parfum ... |
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Yuba |
Posté le 16/08/2019 à 00:14:08
Merci beaucoup Assia pour ce parfum enivrant qui émane de ton commentaire ! | |
jacou |
Commentaires
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