Du néant d'où je ne t'ai sortie
Une nuit où je le rejoignais
Tu es venue et m'as appris
La douleur profonde du jamais
De tous ces mondes parallèles
Ondoyants en vagues probables
Tu es venue ma fille des stèles
Me chuchoter une unique fable
Des douces vapeurs de Morphée
Où je gisais l'âme vagabonde
Tu es venue sur ma joue déposer
Le plus beau baiser du monde
Mais le labyrinthe des possibles
Ma petite probabilité effacée
T'érige cruel en icône inaccessible
Du spleen où tu es née.
Écrit par isidore
l'écriture est une thérapie pour l'âme du poète
Catégorie : Triste
Publié le 14/10/2012
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Commentaires
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Posté le 14/10/2012 à 08:19:58
Très beau poème | |
angelique |
Posté le 14/10/2012 à 11:03:12
Magnifique, éblouie, je vous dis : merci. | |
flipote |
Posté le 14/10/2012 à 14:03:50
Flipote a le bon mot : éblouissant. On se sent petit à côté... | |
blueberry |
Posté le 14/10/2012 à 16:38:04
Je trouve ton poèmes magnifique. Je n'aurai jamais imaginer dans mes songes les plus mathématiques, qu'une variation sur les probabilités puisse être aussi belle. Pour un peu on pourrait qu'un flot ondulatoire soit d'une grande clarté sans anicroche. Merci |
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j_mitch |
Posté le 15/10/2012 à 20:17:44
Merci à vous pour les compliments, je rougis. | |
isidore |