Promenade légère, les cailloux craquent sous l'ennui,
Le silence brisé, étourdit de milles petits bruits,
La nature revit, belle après cette courte pluie,
Révélant les parfums envoutants, des milles et une nuit.
Au loin, Bateaux à quai et cornes de brume retentissent,
Quelques marins tristes, regardent l'appel du large qui leur résiste,
Départ fantôme de quelques navires, pour les pêcheurs tristes,
La mer ne cessera jamais de vivre, pour ceux qui la désire.
Oiseaux gazouillis, enveloppés par un silence pensif,
Chouette coquine, réveille les amoureux transis,
Enlacés dans leurs bras engourdis, position malhabile,
Gagnés par la grâce, comme un tableau de Louis Toffoli.
La brise balaye mon visage, sillonne les rides d'une vie,
Elle surprend encore, mon expression d'enfant émerveillé,
Vivre en sachant, vague à l'âme d'un amour entremêlé,
Dans mes bras, je rêve de toi pour perdre l'envie de me réveiller.
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Hum... c'est dit à merveille le vague à l'âme de l'amour ..il est ***oiseaux gazouillis enveloppés par un silence pensif Une chouette coquine .....***et lire et en sourire et enchanter. .. Merci :) |
MARIE L.  |
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Un poème envoûtant, qui donne envie de voyager, de prendre la mer. Merci pour la référence à Louis Toffoli, qui m'a permis de voir ce que vous vouliez dire, de la grâce qui naît dans l'imprécision des gestes, parfois, car les amoureux ont des mouvements loin d'être sûrs, inquiets un peu, mais toujours l'harmonie se refait entre eux. |
jacou  |
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Ce poème me plaît, le dernier vers est superbe. |
| Quai 21 |
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Bonsoir, Très beau, pur, avec cette Pointe de Légèreté délicieuse.. Et " cette Brise qui sillonne les rides d'une vie " .. beau Vers !! Merci du Partage, LyS .. |
| Lys-Clea |
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Promenade légère entre songes, amour et réalité. Merci de ces commentaires toujours bienveillants et qui comprennent l’essence de ces quelques lignes |
| hugo13 |