Frémissement d'une peau gélive
Leurrée par le miroir de sa beauté.
Sur l'autel des sagesses hiérogamiques,
L'excitation balsamique est noctuelle.
Ce matin, le corps de la mignarde
N'est plus à sa place.
Mais, je sais déjà et vois beaucoup !
Je vois ton sourire mordant
Sur son sépale argenté.
Tu voulais que je répudie
Notre poupée cristalline !
Alors qu'elle jamais voulu
Épouser ta peau du complice !
Elle avait de si beaux yeux métalloïdes !
Son œil avait même exécuté son portrait.
C'est juste la prière androgyne
De vos deux lèvres nivéales.
C'est de cela qu'il s'agit !
Juste ça juste cela
Grande prouesse au caramel
Grimant l'espoir de vos vies.
Je vois encore une caresse
Qui efface une autre.
L'analogie satine éprise de l'ère !!
La félicité angélique hissée,
Sur le mont des mélodies diurnes.
Je reconnais la bissection
De l'ovule volant.
Une étincelle bleue -ciel.
Je vois même une poitrine !
Elle est ivre de ta peau lumière moussée.
C'est L'émulsion flanelle,
D'une pensée sans île.
Je vois la tragédie monandre.
Où l'âme flegme y est lys.
Valse antédiluvienne dis tu !
Où les espaces hypo-styliques.
Enfin, voici le sens qui s'étale
Auprès de l'hérésie de l'âme
L'hérésie du sens.