Dans le petit wagonnet de l'avant, deux nymphettes à la peau meringuée, m'inspirent le feu de l'adolescence !
Face à mon affectueux spectre, la plus atomique des deux donzelles s'essayait à écarter légèrement ses lourdes jambes en bois. J'ai des démangeaisons et ça m'excite religieusement, si bien que je m'étais pris par un pompier.
Pendent ce temps là, l'autre fille annonce ses formalités à un vieil étranger muet et sourd, très connu cependant chez les particules du néant. Tout était anormalement normal, jusque à ce des voix anorexiques commençaient à naître dans l'inertie du silence !
Peu de temps après, ces voix d'il y a un temps avaient entamé l'aisance de mon cœur ankylosé, et se sont éteintes dans la sérénité de la mort, au milieu de rien !
La mort, avant de pénétrer les lieux, avait fortement soufflé le vide pour que mon émanation étincelante s'échappe en sécurité, laissant derrière elle plus de 500 victimes apparemment toutes anéanties par les conditions de l'horreur !