C'est un cauchemar, irréel, illusoire, où
Toutes mes pensées ne seront plus que pour vous.
Chère amante de mes nuits, de mes jours, de ma vie.
Votre corps, votre cœur et votre âme n'ont pas d'prix.
Ma passion et mes vices m'entraînent dans la brume,
J'suis converti aux sept péchés capitaux, j'hume
Cet air empli de souffre. La chaleur est si forte.
Y avait un fleuve, mais ce n'est plus qu'une rivière morte.
Alors je m'enfonce dans cette brume épaisse et noire,
Je recherche cette luxure absolue, mais l'avare
En moi ne veut distribuer aucun plaisir.
Il garde cette jouissance pour lui et ça me fait rire.
L'homme disparut dans cet immense nuage noir,
Il n'laissa aucune trace, seulement du désespoir.
Personne le connaissait, personne ne le pleurerait.
Et il disparut pour toujours et à jamais.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Triste à découvrir... | Poèmes de harahiri au hasard |
Annonces Google |