Doucement, je m'endors dans les bras de Morphée.
Je vois un arc-en-ciel de toutes les couleurs,
Je me trouve dans un champ aux milliers de fleurs.
Il fait chaud, il fait beau, c'est sûrement l'été.
Mais soudain, tout s'assombrit autour de moi.
Tout devient sang et haine, je suis pris d'effroi.
Je tombe dans le tourment, la peur et l'oubli,
Que suis-je réellement, qu'est donc cette étrange vie ?
Je ne sais pas, je ne sais plus, je suis perdu.
C'est alors qu'une lumière apaisante m'enivre,
C'est cette lumière qui m'a donné envie de vivre.
J'n'étais plus rien dans ce monde, j'étais mis à nu.
Alors je quitte la douceur des bras de Morphée,
En sursaut paniqué je me suis réveillé.
Comme quoi, avec elle on ne peut pas que rêver.
Cette nuit, les Enfers se sont ouverts sous mes pieds.
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Au moins, essayer d'oublier l'enfer, ce n'est je pense qu'un concept forgé pour épouvanter les endurcis dans le crime et la méchanceté, je t'aime bien jeune poète. | |
flipote |