Chambre blanche,
Petite fille blanche.
Petite pas petite,
Grande mère pas si grande.
Bruit, bruit, bruit.
Bip, bip, bip.
De la vie ?
On en voyait pas.
Cheveux,
Plus de cheveux.
Petite fille morte avec,
Grande mère vivante sans.
Et cette putain de clémentine.
Qui empêchait petite fille de regarder en face.
Clémentine fixait petite fille.
Petite fille pleurait.
Petite décortiquait clémentine.
Pelure après pelure.
Souvenir après souvenir.
Jusqu'à la question habituelle, presque fatidique de la grande:
Qui êtes-vous ?
Regrets pour Jeanne.
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Commentaires
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Posté le 13/12/2016 à 00:51:47
Ah ! Ce qu'on est mieux sans les articles, assommants quand ils sont toujours là ! Toujours étonné par votre belle et jeune créativité ! |
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jacou |
Posté le 13/12/2016 à 01:16:00
Il y a un truc dans ce poème. Ce petit truc qui fait tout. Qui fait que j'aime beaucoup...Tout simplement. Merci du partage. Loïc |
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ROUSSELOT |
Posté le 14/12/2016 à 20:51:52
J'aime aussi ginou ce magnifique poème | |
MARIE L. |
Posté le 19/12/2016 à 16:38:17
Effectivement un petit truc sympa dans l'écriture et l'inspiration | |
Victor |