Devant l'adversité du temps qui nous mutile
Sur les chemins sans fin que les piétons piétinent
Je ne vois qu'un présent celui de ton sourire
A l'arrière des étés ou les automnes pleurent
Comme l'adolescent aux vacances éphémères
Je ne vois qu'un passé celui de nos délires
Au bout de ces années qui ne reculent pas
Qui ne retournent pas aux premières idylles
Je ne vois qu'un éclair celui de l'avenir
Où ma mie tu viendras partager mon silence
Dans le marbre noirci par le suif des guerres
Qui sur nous glisseront comme grains de poussière
L'engrenage impossible de la courte existence
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Commentaires
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Posté le 31/05/2012 à 10:42:48
un texte qui mérite mieux que cette indifférence, j'ai vraiment accroché ! belle plume, assurément... al; |
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spock27 |