Poème en duo car le premier vers est d'un grand poète que j'ai par malheur oublié
Le temps, qui sans repos, va d'un pas si léger
Nous ôte sans répit toutes les belles choses,
Les rires des enfants ; et le goûteux baiser,
Les repas entre amis, la musique et les roses.
Les refrains à trois voix, près du feu odorant,
Les sardines grillées, au beurre et au persil,
Et l'aide cuisinier : un très très cher amant,
Si drôle et si gentil.
Les randonnées à deux, dans le bois solitaire,
Les vagues de la mer, où l'on plongeait si bien,
La robe de trois sous, qui'avait pas couté cher
Mais qui charmait la vue et de l'homme et du chien.
Tous les petits bonheurs d'une vie sans histoires,
Venus on ne sait d'où, mais vraiment bienvenus,
Chassés tout doucement au dessus de la Loire,
Nous laissant dépouillés, aux coeurs tristes et nus.
 |
Écrit par flipote
Sans peur je balance en ligne Mes mots de mamie indigne.Bien pis ! je persiste et signe.
Catégorie : Duo
Publié le 28/04/2012
|
| Poème Précédent |
Partager ce poème:
|
Poème Suivant |
| Duo à découvrir... | Poèmes de flipote au hasard |
| Annonces Google |
 |
Ah ! Ma flipote, ta Loire, c'est une belle histoire d'un passage de vie conté avec finesse, t'embrasse ma chérie, n'oublie pas la charpente. |
platon  |
 |
Bravo flipote On profite plusieurs fois des bons moments passés : lorsqu'ils sont vécus et dans les souvenirs C'est pourquoi il est important de se souvenir des bons moments et de se les ressasser. C'est malheureusement pareil pour les mauvais moments. |
PATGUI  |
|
Merci mille fois mon platon, j'ai eu ton message pour mon homme, je m'en occupe sans discontinuer, c'est un autre mode de vie, très différent de ce que j'évoquais dans ce que tu viens de lire, car l'aide en cuisine, si drôle et si gentil, devine, c'était lui. Je lui cuisin les plats italiens qu'il aime, surveille ses nombreux larcins en sucreries, mais je l'entendais dire au téléphone à sa soeur aînée qu'il n'était pas du tout malheureux. t'embrasse poète |
flipote  |
|
Merci à toi aussi mon cher PATGUI, tu es très amical, je t'embrasse |
| flipote |
|
Votre poème est teinté d'une mélancolie si vraie que mes yeux s'en sont brouillés. Si triste, mais tellement beau. Dans un langage tellement simple qu'il en est d'autant plus touchant. Oui, c'est beau. |
| Lomaedi |
|
On plongeait ! cornegidouille ! ce qu'il faut devenir ! |
| flipote |
|
Loamaedi, je ne suis pas si triste, comme vous dites tous ces souvenirs sont un trésor, merci à toi de me lire. |
| flipote |
| Annonces Google |