Depuis que j'ai vu dans le vent
Tes ailes claires, traverser
L'espace d'un ailleurs lointain
Qui m'était hier, interdit
Je ne sens plus les choses
Comme avant ton départ
Je ne vois plus les choses
Qu'au travers des nuages
Tu m'es apparue nue de fraicheur
Comme les roses gorgées de pluie
Je pouvais presque sentir le parfum
De ton regard humide sur le mien
Je t'en prie reste encore un peu
Que je me souvienne encore de toi
Entre les îles désertes de mes bras
On peut être nous, encore un peu .
Tu m'as frôlé de ton âme blanche
J'en ai perdu toute ma raison
J'ai dû prier très fort hier
Pour voir ce qui m'était refusé
Maintenant, je respire le bonheur
De tous les mirages du ciel
Je suivrai pas à pas tes traces
Pour marcher droit à tes côtés
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Écrit par fee-de-ble
la beauté est là où on s'y attend le moins
Catégorie : Amour
Publié le 27/09/2019
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Et bien un sacré ange que celui-ci... Magnifique poésie fee-de-ble, merci! |
Dafide  |
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un poème touchant et délicat..merci Fée! |
Aria  |
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maintenant je pense que l'amour est la seule chose qui donne aux gens l'envie de vivre merci pour ce partage |
| megapdg |
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Merci à tous. , la sensation de la présence d'un être cher disparu est un réconfort pour celui qui reste |
| fee-de-ble |
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Le centre de ton poème est une émotion brute, je l'ai ressentie et c'est un bel et noble amour que tu prononces. Merci de tes vers Fée, ils stimulent l'ardeur à poétiser tant de choses qu'on ne saurait dire ou qu'on n'oserait dire autrement... |
| jacou |