Je vais vous conter l'histoire de cet homme, qui a trop joué avec la vie,
En perdit tout contrôle, oh, il s'en rendait compte et la voyait venir, mais il sentait qu'il lui fallait laisser la perdition de son âme, l'envahir et l'entrainer dans les bas-fonds de son immense caverne, celle de mille perditions. Il ne comprenait pourquoi ni comment il le savait,
Mais cela lui serait bénéfique dans son futur, mais, il y avait un « mais », cela consistait à réaliser la réalité de ce qui lui arriverait avant et pendant cette descente.

Mais cet homme n'est pas si différent des autres, enfin comme je vous le contais
Il jouait avec la vie, les gens, dans l'espoir de les comprendre, cela marchait peu à peu, ce fut
Sa méthode, qui elle allait, l'emmener dans ce destin qu'il se présumait.
Et oui, plutôt que de commencer à se connaître lui-même, il observa ce qui se déroulait autour de lui et se dit que s'il voulait savoir une partie de ce qui compose l'être humain,
Il lui faudrait alors s'approprier leurs comportements pour y arriver.

Il s'entraina dur et observait la moindre réaction, la moindre lueur correspondante à l'effet recherché, à savoir, se mettre dans leur peau, allant jusqu'à même s'approprier
Le passé de certaines personnes, ce qui entraina moult autres croisades, donc encore plus de singeries à faire et tout ça, pour mieux connaître les êtres humains, pourquoi le voulait- il à ce point me demanderiez-vous?, et je vous répondrais que lui-même n'avait connaissance de la réponse, il le faisait, c'est tout.

Une sensation profonde dont il ne percevait à peine sa voix, il l'écoutait sans se douter de ce qu'il lui arriverait, réellement, à force de s'approprier « l'identité » d'autres personnes, le résulta survint quelques années plus tard, quand il commençait à vouloir savoir qui il était réellement, il ne sut pas ; au contraire il comprit qu'en lui existait encore, soit à tour de rôle, soit en fonction des situations, toutes ces diverses personnalités qui coexistaient en lui.

Alors à ce moment, tout lui échappa et ne revint jamais, éternellement perdu et incompris dans tous ces mondes ici-bas.
Du moins, je le crus perdu, ce fut par un jour pluvieux que je le croisai, pile au même endroit de notre première rencontre, et je vis en lui, ou dans son regard qu'il y était arrivé à ses présomptions incompréhensibles pourtant au début, mais je ne fis que le croiser, alors tout ça ne sont que présomptions de ma part.
Pour tout vous dire je vis en lui depuis toujours et je ne le comprends pas souvent.

Écrit par fabio
lorsque vient la nuit tel une chauve souris,mon esprit s'envole si loing que je me perds.
Catégorie : Divers
Publié le 24/03/2007
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
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Commentaires
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Posté le 25/03/2007 à 20:29:07
magnifique texte, il a fallu que je le relise 2 fois mais c'est dommage tu as mis un titre trop long, sadness à corrigé , on ne pouvait pas rentrer pour te mettre un commentaire avant..... j'aime beaucoup.
plustout
Posté le 16/04/2007 à 02:16:11
merci pour ton com, d'autant que ces une partie de moi qui est écrit
fabio
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