Je ferme les yeux,
très fort,
tous ces souvenirs,
encore et encore,
à mille lieues,
du présent,
je me mens,
je respire,
Je rouvre les yeux,
et au milieu,
des rires,
je respire,
je ne peux rien oublier,
je ne peux que vivre,
vivre au présent,
à l'instant.
Écrit par esperanza
Opposer le pessimisme de l'intelligence à l'optimisme de la volontéGramsci
Catégorie : Triste
Publié le 16/03/2011
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Commentaires
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Posté le 16/03/2011 à 17:25:17
les souvenirs beaux ou tristes restent ancrés et témoignent d'un vécu, ton texte m'a ému, bonne soirée. | |
ulysse |
Posté le 16/03/2011 à 18:01:10
fermer ses yeux sur soi puis se retrouver dans le monde avec les autres, des moments très forts, souvenirs puis retour à la réalité, parfois décevante, vraiment fort | |
philomène |
Posté le 16/03/2011 à 20:16:36
Parfois, garder les yeux fermés procurent un bien fou, oui, on se ment à nous même pour éclairer un passé qui aurait été sombre, on lui ajoute une pincée de bonheur et quelques rires, puis on se met à rêver. C'est très beau ami poète. Amitiés. |
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JB |
Posté le 17/03/2011 à 23:54:18
jolie poèsie comme un baiser doux ! | |
MARIE L. |