La dure sensation de ne rien faire
Sentir son corps sombrer dans les méandres de l'enfer
Être dans l'immobilisme
Pourtant être un créateur cérébrale
Profiter des nuits bleus pâles
Et des insomnies
Comprendre d'un trait de génie
Qu'on est tout petit
Qu'on ne s'élève pas plus que ça
Pas plus que la nature n'a le droit.
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Divers à découvrir... | Poèmes de eric au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 17/06/2017 à 19:30:07
J'aime bien ce poème ! | |
Galerion |
Posté le 17/06/2017 à 23:14:25
Nous sommes infimes comme les cirons, disait Blaise Pascal, et pourtant nous comprenons l'univers en nous, d'où nos insomnies sans doute ! | |
jacou |
Posté le 19/06/2017 à 14:49:44
Journal-déprime Primesauteuse suis Entourée bilovée Toujours sapée fringuée Bijoutée maquillée Le ris aux lèvres Dégagée Of all responsibility Vive l’aliberté Je vois à mes côtés des mères-épousées Qui ont la soupafaire Meanwhile Je m’étale sur la moquette Sans lieu ni heure ni lieu d’être A telle heure tel endroit Je suis si bien ainsi assise devant moi Un peu de roujajou L’indifférence au corps Je ne fais pas partie de vos tableaux de chasse J’habite quelque part Entre la vie la mort. 7 mars 85 Marine L |
|
marinette |