Une lueur pâle parvenait du soleil matinal
On aurait cru voir l'ombre d'un cheval
Et déjà commençait à souffler le mistral
Les premiers sportifs avançaient à grands coups de pédales
Nos deux corps allongés dans l'herbe d'un petit val
Notre amour tes cheveux tes mains et ton visage pâle
Désormais réunis nos deux coeurs n'auront plus jamais mal.
Écrit par eponalabelle
la roue tourne
Catégorie : Amour
Publié le 05/06/2013
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Commentaires
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Posté le 06/06/2013 à 01:20:28
Piou piou, je me transforme en oiseau, et j'aime bien ce genre de métamorphose. Merci ! | |
Good Times Bad Times |