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Vous me pensiez dormir, mais je dors peu, Popeye.
Vous me pensiez dormir... Mais il suffit parfois
Qu'un vent léger se lève, et la frayeur m'éveille,
Et je fais miens, voyez, tous les frissons des bois.
Vous me pensiez dormir. Mais jugez-en : je veille.
Même les yeux fermés, Popeye, je vous vois.
Et ce vent chaud me dit des choses dans l'oreille,
Sur vos spinachs, sur vous, sur vos troublantes lois...
Mon héros d'ambre et d'or... Vos charmes font merveille !
Qu'importe si je dors ou faussement sommeille,
Qu'importe ce qu'est l'eau, si dans vos mains je bois... .
Tombe un reflet d'amour au fond de l'eau vermeille :
Je ne ferai qu'un vœu que vous savez, Popeye...
Je le ferai des yeux, s'il fait trembler ma voix.
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Commentaires
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Posté le 07/10/2008 à 23:02:54
Eille ! Oh ! Wow ! C'est tout chaud tout chaud Rimes internes intéressantes aussi |
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Renaud Maze |
Posté le 07/10/2008 à 23:08:55
quand on est amoureuse la poésie est facile ! | |
elena |
Posté le 07/10/2008 à 23:12:39
Moi aussi j'aime Popeye mais je l'avais jamais vu dans un sonnet auparavant ! |
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Renaud Maze |
Posté le 07/10/2008 à 23:16:28
ah il mériterait qu'on lui écrive de bien plus jolies choses Popeye est un être merveilleux |
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elena |
Posté le 23/04/2009 à 17:05:28
heuu... sacré Popey, joufflu qu'il est qui aurait pensé qu'il fasse autant d'effet ! je salue la délicatesse des mots |
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Silenys |