Le matin n'augurait rien de bon
Devant le phare en pierre je devenais confiant
L'appel venait de loin, et il a fait entendre
La harde de sons, ton côté sombre agitant
Vadrouille de nos désirs d'enfant
Dans la forêt de ton silence
Mourrait Supernova
Je l'ai senti à travers les fanaux
Et ta tristesse buvait à même le lac
Tout en mouillant tes cheveux en or
Tu méditais, fusil en main,
Et l'avenir se précisait à travers le crachin.
Écrit par eco-blanchiment
Nos années se lient.
Catégorie : Divers
Publié le 03/03/2013
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Commentaires
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Posté le 03/03/2013 à 13:41:17
"et la tristesse buvait à même le lac" ton poème est plein de belles trouvailles très évocatrices. Merci pour cette ambiance profonde et imagée. | |
Marouette |
Posté le 03/03/2013 à 15:10:03
Belle job man. | |
Intruder |
Posté le 03/03/2013 à 16:08:46
qui est cet Elliot eco j'aime toujours autant te lire,,, | |
flipote |
Posté le 04/03/2013 à 12:22:50
elliot! Elliot! ELLIOT ! Elliot ! Elliot! Elliot! | |
flipote |
Posté le 04/03/2013 à 17:37:42
non il s'agit pas d'Elliot (poète anglais) :) | |
eco-blanchiment |
Posté le 04/03/2013 à 21:33:21
Toujours aussi bon ! | |
cocoboys@hotmail.fr |
Posté le 05/03/2013 à 17:10:23
toujours aussi bon oui .j'adore | |
reason03 |
Posté le 06/03/2013 à 11:55:44
Excellent, tes mots font voyager l'esprit à la vitesse de la lumière !....8) Bonne continuation ! Roger |
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rogertibbart |
Commentaires
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