dans ce bunker de béton et de chair
là où les cadavres s'entassent dans la terre
les armes résonnaient
au sonnet du sifflet
les coups partaient , les gens mouraient
toute cette merde tonitruait
qui poussait le désir;
à l'homme de se détruire
 |
Écrit par deathzacky
vivre chaque jours comme si c'était le dernier/fumer tue la penser aimer aussi mais pour arrêter de penser il faut mourir/la beauté n'est que subjective la preuve j'arrive a m'en passer
Catégorie : Triste
Publié le 17/11/2010
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
| Poème Précédent |
Partager ce poème:
|
Poème Suivant |
| Triste à découvrir... | Poèmes de deathzacky au hasard |
Commentaires
| Annonces Google |
Posté le 18/11/2010 à 20:55:49
 |
Pas mal pas mal... Peut-être un petit manque de rythme sauf s'il est voulu ! Mimitiés ^^ |
Naliwe Lewan  |
Posté le 18/11/2010 à 21:11:05
|
effectivement la fin est un peu molle |
| deathzacky |
Posté le 20/11/2010 à 20:08:38
 |
Moi j'adore !!!! Vraiment !!! Le rythme je trouve que ça ne fait pastout !!! C'est l'écrit le plus important et le ressentit !!! Tu as du talent !!! Amitiés ! M. |
Maya  |
Posté le 24/11/2010 à 08:20:14
|
merci Maya sa fais chauds au cœur |
| deathzacky |
Posté le 24/11/2010 à 19:06:31
|
Derien !!! ;) |
| Maya |