Je grave les collines enchantées menant au sommet de l'espoir.
J'y ai écris mes pensées pour finir au travers de la gloire.
Et j'y ai pleuré pour nos pères morts dans les antres du désespoir.
J'en suis redescendu fatiguer pour ensuite m'asseoir.
Cet homme m'a aperçu puis il m'a approché.
Etant dans l'absteinte de mes songes je les lui ai partagés.
Avant d'y aller je n'attendais que le suicide.
De mon retour j'en suis revenu lucide.
J'ai connu le mal pour finir dans les bras du bien.
Tu me vois de ce jour vivant d'un amour qui est vain.
Je ne suis plus misère me voilà donc poète.
De cette colline j'y ai puisé l'inspiration.
Et puis écris mes vers qui était épithète.
Ils sont centré sur cette fille et je n'y fait aucune exagération.
Et au sommet de ce monde j'ai admiré cette floraison.
Car oui le néant fleuri lorsque l'on le nourrit.
Nourrir de sa solitude qu'il ne fait que combler.
Il existe bel et bien n'en soit point toute ouïe.
Le voici et c'est moi j'en suis possédé.
Cela n'est que mensonge je te consterne de mon ironie.
Je l'aime, j'en abuse et j'en suis obsédé.
Écrit par cocoboys@hotmail.fr
Que les femmes me pardonnent de n'être fait pour elle,
D'être comme un nuage qui recherche son ciel De n'être qu'un navire toujours à la détresse, Et cette envie de fuir de ceux qui sont en laisse ... Catégorie : Drole
Publié le 07/12/2008
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