Éperdument épris de vous,
J'en ai côtoyé l'impatience,
Choyez vos tracas de malchances,
Dans une fosse à purin,
Près du domaine des fous.
Sentiments paraphrasés,
Face au rebond de l'amorce,
Désemplissant les escortes,
Mon triste chandelier,
J'en ai brûler des forces.
Voici donc mon dégoût,
Pour les vôtres, pour les miens.
Après les longs débats,
De mépris et de longue verges,
Nous copulions dans l'exergue,
Velléité attisant mon odorat,
Notre crépuscule charnelle.
Elles avaient soif de tendresse,
M'as-tu vu empli de grâce,
Malfaisance dans ta face,
Éternellement revêche,
J'ai mérité ma place.
Dans une invasion de doutes,
Tout vient à point énigmatiquement.
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Écrit par cocoboys@hotmail.fr
Que les femmes me pardonnent de n'être fait pour elle,
D'être comme un nuage qui recherche son ciel De n'être qu'un navire toujours à la détresse, Et cette envie de fuir de ceux qui sont en laisse ... Catégorie : Divers
Publié le 03/06/2016
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Commentaires
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Posté le 03/06/2016 à 13:26:53
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C'est une divinité négative, une drôle de théologie. |
jacou  |