Prisonnier de leurs méfaits,
Nos âmes sont vives.
Quand bien même je ne serais,
Qu'une ombre grise.
À porté de longs remords,
que l'on ravive
de songes morts,
où on s'enlise
avec succès.
Délaissé par la folie,
qui nous animent
Ébranlé par les hymnes
et leurs effets
A porté de ces choses
qui nous délivrent,
les larmes unanimes,
à haute dose.
Les pas trébuchants
sont des archives,
La force s'aligne,
Aux aux bribes du temps.
L'horreur immaculée
et ses délires,
La lâcheté de salir,
Une nation endeuillé.
Le coeur rempli de rage,
Je n'ai que peu d'estime,
Des folie qu'il prédestinent,
De la force nous sommes l'otage.
Écrit par cocoboys@hotmail.fr
Que les femmes me pardonnent de n'être fait pour elle,
D'être comme un nuage qui recherche son ciel De n'être qu'un navire toujours à la détresse, Et cette envie de fuir de ceux qui sont en laisse ... Catégorie : Divers
Publié le 24/11/2015
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Commentaires
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Posté le 24/11/2015 à 20:00:24
Je suis d'accord. | |
eric |
Posté le 29/11/2015 à 18:51:37
Super poème ! Et la forme très réussie. Pas étonné que ça plaise à Eric ;) |
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eco-blanchiment |
Posté le 27/12/2015 à 13:48:42
Je n'ai moi aucun estime pour les lâches...bravo pour l'écrit ! amitiés |
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Yuba |