Peut être qu'un jour j'aurais le droit de la revoir.
A l'ombre de ses jours passants peut être je peux y croire.
Croire que je pourrais te revoir même si ce n'est qu'espoir.
Sans toi dans mes pensées je me perds et ma vie en devient dérisoire.
Tant bien que mal je me force à t'attendre, ceci est un devoir.

Tu as ôté mon coeur, cela m'a profondément touché.
Pour jardin tu l'as pris et des fleurs tu y as fait pousser.
Roses à épines étaient, la premières des pousses à germer.
De tes larmes arrosées, elle en charmait les étés.
A la création de ce jardin l'amour tu m'as prouvé.

J'ai cueilli ses fleurs, à l'aube d'un matin.
Quand nul je me doutais, que l'espoir prendrait fin.
Ses fleurs si diverses deviendront ton jasmin.
Se sont tes préférées ma mémoire s'en souvient.
Bonheur je retrouve, dans mon dos s'est posé ta main.