L'heure est aux souvenirs en pensant à l'été:
Ils font songer aux jours et plaisirs de l'enfance:
Courir à corps perdu après nos innocences,
Le temps passe et jamais on ne peut le freiner.
Les châteaux éphémères bâtis de sable et d'eau
Les histoires de princesses, de dragons effrayants
Peuplent l'imaginaire depuis la nuit des temps
Des enfants d'où qu'ils soient, de Suisse ou Bornéo.
Le jeu de la marelle, n'amène-t-il au ciel
Que pour se divertir ou est-il un désir
D'aller voir bien plus haut, aspirer aux plaisirs
Et bonheurs espérés, à des douceurs de miel ?
Nos jeux d'alors étaient, on pourrait le penser
Plus que naïfs loisirs, mais un souhait viscéral
D'échapper au réel et son issue fatale
En oubliant un temps les douleurs d'exister.
Adulte devenu, les rêves s'édulcorent ;
On se met à penser aux moyens de gagner
Ce qu'il faut pour survivre et ne plus trop songer
Que vivre on peut goûter sans redouter la mort.
Soyons donc à nouveau des enfants innocents
Et voyons ce que vie et prime envie nous donnent !
Recommençons le jeu et qu'à nouveau rayonne
Sur nous l'esprit du rêve, du songe d'un enfant.
Écrit par chriseline
Emoi des mots
Catégorie : Divers
Publié le 18/09/2013
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Zut, mon avatar s'est encore perdu dans les chemins mystérieux de l'informatique! | |
Mokolo |
Tu as bien dit : mon Mokolo, les chemins mystérieux, et parfois exaspérants, usants, tuants. Aaaaaah la roue multicolore invasive, collante, quelle garce ! sans compter le mystère des titres trop longs, l'orthographe facile à corriger, il y a peu grâce aux impressions en rouge, fini c'était trop bien ! et ce n'est pas tout ! | |
flipote |
Le poème de chriseline est enlevé, goùteux, et poétique, que demande le peuple ? | |
flipote |
Merci Mokolo pour votre appréciation et le "quatrain bonus" que vous nous offrîtes. Merci flipote, et courage. | |
chriseline |