Comment ne pas regarder
Tous ces beaux moments passés
Où rien n'avait d'importance,
Où nous partagions la danse ?
Qu'elle fût valse ou bien tango
Nous faisant face ou de dos,
Nous aimions à nous serrer,
Nous toucher, nous enlacer.
Le goût sucré de tes lèvres
Faisait culminer ma fièvre,
Désirable maladie
Dont hélas tu es guérie.
Nous restent les souvenirs,
Que les meilleurs, les fous rires ;
Pleurer n'était que de joie,
Aimer était notre loi.
Écrit par chriseline
Emoi des mots
Catégorie : Amour
Publié le 11/11/2013
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Commentaires
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Posté le 11/11/2013 à 10:04:00
J'aime beaucoup votre poème, la de scription de cet amour et très bien faite ! Encouragement. poeme43 |
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poemes43 |
Posté le 11/11/2013 à 17:28:30
Les souvenirs sont les choses les plus précieuses, avec le temps c'est tout ce qu il nous reste, très beau poème amitiés poétiques absolème |
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absolème |
Posté le 12/11/2013 à 08:31:05
J'aime beaucoup ! Souvenirs ! souvenirs lorsque tu nous tiens, la vie retrouve une douce saveur d'un certain bonheur. Merci à vous ! | |
CRIS |
Posté le 15/11/2013 à 11:07:36
Merci infiniment, miladies | |
chriseline |