La rivière coulait, coulait,
Serpentant dans le marais,
Parfois, sortant de son lit,
Elle noyait alors les prairies.
La rivière coulait, coulait,
Partant rejoindre la marée,
Des poissons, elle était la mère,
Villes, villages et commères,
Tous prenaient soin de la rivière.
La rivière coulait, coulait,
Des poissons elle était nourricière,
Les gamins plongeaient dans ses bras,
Elle était la reine des rivières ici-bas.
Les pécheurs toujours aux petits soins,
De cette rivière venant d'un tel lointain.
Ainsi va la vie
charlesp
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Commentaires
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Posté le 12/10/2015 à 16:35:36
La nature demeure imprévisible, pourtant devrait savoir... celui des anciens... Beau poème. |
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soupirance |
Posté le 14/10/2015 à 19:17:59
Très esthétique, mais sans force. | |
Intruder |