Poussières dorées, criques sauvages offertes à la lune,
Aube rouge, enflammant l'horizon sous de sensuelles caresses,
Souvenirs d'un mot tendre dans les parfums d'un matin d'ivresse,
L'océan brasse mes rêves sur la plage de tes murmures,
Les ailes déployées, libre et légère, j'ai imaginé toucher l'azur,
Délaissant les noirs écueils, j'ai goûté à la sources des désirs envoûtants,
Dans ma vie en ruine, je voudrais oublier le temps pour un instant,
Les doigts glacés du vent, déchirent mes illusions de bonheur,
Ton visage, sur la toile de mes nuits, désagrège mon cœur,
Des perles d'espoir à peine écloses, esquissent des lendemains d'incertitudes,
Oh toi qui me dévoila la lumière, ma nuit s'achève dans une insondable solitude...
Écrit par celtique
Sous la vague incessante, le sable effacera nos peines
Catégorie : Amour
Publié le 26/05/2015
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Commentaires
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Posté le 26/05/2015 à 21:29:00
C'est dit avec délicatesse ! On sent des vers ne voulant pas finir, s'étirant comme des fils de soie... | |
jacou |
Posté le 27/05/2015 à 08:07:48
de la dentelle! de Calais c'est la plus belle. | |
pat |
Posté le 27/05/2015 à 09:15:41
Oh! Grand merci pour ces beaux commentaires.... Je suis très émue et touchée... | |
celtique |